lε dεrηιεr sομfflε ...?

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Le paysage autour de moi défilait beaucoup trop rapidement. De plus avec la nuit qui venait de tomber, ma vision n'était pas ajuster à cette noirceur, donc je courrais sans savoir où j'allais. C'est lorsque mes yeux d'hybrides su voir dans ce noir de jais infini.  Dans ce lieu, je trébuchais souvent sur les brindilles sèche et la boue visqueuse. J'étais dans un bois, aucun chemin se dessinait devant moi et cette lune me faisait flipper. Grande et lumineuse, elle n'éclairait à peine le sentier que je suivais à cause de la cime des arbres trop épaisses. Je sautais au dessus d'un tronc d'arbre, cet alors que je tournais mon visage vers la gauche pour pouvoir regarder derrière. Personne ne me suivait, je me sentais en sécurité. Puis soudain, je fonçais alors dans un arbre qui causa ma chute. Je ne peu dire combien de roulade j'avais effectué mais je savais que c'était douloureux. Contre la membrure du conifère, je regardais cette lune avant qu'un magnifique corbeau prit son envole au dessus de ma tête. Ce grand oiseau était éblouissant et passait devant moi à une vitesse lente pour que je puisse regarder chaque plume de son corps. La douleur était plus intense qu'auquel j'aurais été confronter. Des frisons parcourus mon corps, les poils sur ma peau s'hérissaient. Ma lourde tête tombait vers l'avant sa que je puisse l'arrêté. C'est alors que je compris cette vague d'émotion,  mon corps se modifia.

«– Merde! hurlais-je.»

Une transformation allait débuter, je le sentais qui venait me déchirer la chaire de l'intérieur. La torture de ces mutations était, lors de pleine lune étaient les plus pénible de toute. La totalité de ses changements se décuplaient; ma forces contre mes proies, mon agilité à éviter mes ennemies, ma rapidité plus rapide qu'un pur sang et la douleur plus violente que celle dont j'étais habitué. Je redoutais les pleines lunes depuis cette fameuse nuit durant le mois de Novembre où j'ai failli y perdre la vie. Je ne voulais pas revivre ceci ... Surtout pas quand j'étais sur le territoire des chasseurs.

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Son regard brillait sous les lueurs de la pleine lune. Elle était assise sur une branche d'un vieux arbre, très haut et fort. À chaque soir de pleine lune, Kate s'aventurait dans la profonde fôret, se rememorant de sa chère mère et de..son père. Quand ses souvenirs viennent la pourchasser, la jeune fille surpasse sa douleur en chassant. En pourchassant. Donc, une nouvelle pleine lune, une nouvelle nuit de chasse. Kate traquait un loup-garou depuis quelques temps, mais n'avait pas encore réussit à trouver de demi-animal, demi-humain. C'était l'étape la plus dure, heureusement. Son père lui avait bien enseigné comment s'en débarasser d'un loup. Kate vennait parfois à se demander..si son père l'avait entraînée..pour se débarasser de lui.

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Fronçant les sucils, elle ferma les yeux et inspira profondement, laissant le vide l'envahir. Un frisson parcouru sa colone vertébrale. Lorsqu'elle ouvrit les yeux, sa tête tourna à 45 degrés vers sa gauche. Elle le sentait. Enfin, il était là. Tout près. C'était comme si l'odeur que lycothrophe lui avait montré sa cachette. Un sourire en coin, malicieux et séduisant vint se dessiner sur son visage. La jeune adulte sortit un elastique et s'attacha les cheveux en chignon.

Elle était prête, avec son epée, ses quatre armes changées et ses couteaux. Kate s'est mise à marcher, très lentement et silencieusement.

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Un soupir douloureux s'échappait de ma bouche. J'étais tourmenté par le déroulement des événements, j'allais me transformer et je ne pouvais rien faire pour l'arrêter. Pendant un court moment, je voulu crier espérant qu'un randonneur vient m'aider dans ce supplice. Ma tête était douloureuse comme un tambourin lors d'une fête foraine, mes yeux était irriter et me donnaient des maux invivable. J'allais devoir accepter que dans quelques minutes j'allais devenir un loup... Soudain, à quelques lieux de l'endroit où j'étais, un bruit étrange vint à mes oreilles. Je fus surpris et à la fois désappointé de se son. Un animal peut-être, une biche pour être plus exact ou bien un cerf—il y a n'a beaucoup à cette période de l'année. Je ne savais plus où mettre de la tête. L'unique chose que je ne voulais pas retrouver dans ces bois était un humain. Je plissais mes bras, appuyant ainsi mes mains contre ma poitrine, la douleur emprisonnait mes pensées, mes mouvements et même ma respiration... Ce fut insupportable comme toujours. Mais les bruit qui venait du sentier s'approchaient de plus en plus. Ça m'inquiétais.

« Y'a quelqu'un?! criais-je en me tournant la tête. »

Aucune réponse. J'avais probablement pas crier assez fort mais je me contentais de survivre à cette transformation. Regardant derechef la lune au dessus de moi, je sentis mes tripes s'étirer vers l'extérieur, le maux que ça me donnait était mille fois plus intense qu'une simple brûlure. Mes organes internes se contractait pour rendre mes souffles de plus en plus difficile. Une minime parti de moi voulait en finir pour de bon, je cherchais un objet tranchant qui pourrait facilement tranché ma chair mais en vain. J'allais devoir poursuivre ma métamorphose pendant les prochaines minutes. Après que mes os furent brisé par la pression de mes muscles qui se développaient, je ressentis les poils sur ma peau pousser rapidement. Puis, je regardais vers le bas, ma bouche s'ouvrir en laissant pousser mes dents pointus et acérés. Elles prenaient beaucoup de place mais lorsque ma mâchoire s'ouvra grand, un museau large et long se formait. Mon nez devenait une truffe, mes lèvres poilus et des longues moustaches vint se poser sur ma lèvres supérieur. J'allais bientôt devenir un loup, mes vêtements se déchiraient pour que mon torse nue puisse prendre la forme de ce monstre. Des griffes noir s'alignaient à mes doigts. J'étais probablement effrayant à regarder pour le moment. Mais qui pouvais bien me voir dans ce noir infini..?

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Lorsqu'elle avait entendue la voix d'un homme, la jeune adulte se figea. N'ayant que suivit son instict, Kate n'avait pas été assez prudente: le sol était bien humide, mais il y avait un large tapis de feuilles mortes et des branches sur les feuilles. Sa respiration était inhabituellement haletante car l'homme était à moins de 100 mètres de là. Elle s'avança très, même trop lentement pour ne pas faire un bruit trop suspect. À chaque pas, elle s'arrête pour scruter les alentours

Puis elle le vit.

Ses yeux étaient hypnotisés. Son coeur battais à 100km/h. Ses muscles étaient raidis. Sa bouche entrouverte. Et sa main droite se serra encore plus fort autour du manche de son épée.

Kate était un peu en état de choc. C'était la deuxième transformation qu'elle voyait avec ses yeux. Elle voyait la souffrance et la terreur venant de l'homme. Comme elle l'avait vu chez son père.

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L'épée d'une main et un pistolet de l'autre, elle s'avança. Mais cette fois, sans faire attention. Les feuilles et les branches grimacèrent sous le poid de ses pieds, s'approchant à chaque fois plus dangereusement du loup-garou à moitié trasformé. Elle savait que depuis le début il l'avait sentie, ou d'au moins entendue. Se cacher serait simplement redicule.

Kate s'était arrêtée à 20 pas du loup. C'était dommage qu'elle n'avait pas réussit à bouger avant pour voir le visage de l'humain. Donc, elle devait le tuer maintenant. Au moins, c'est ce qu'elle croyait pouvoir faire.

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Comme un rêve, tapis dans l'ombre, songeant à s'enfuir au gré d'un vent saisonnier. Mon corps d'homme fut emporter dans un monde inconnu, à l'abris du temps et de la maladie. Je n'étais plus Darren, je n'étais plus humain. J'avais quitter cette réalité pour me gorger dans une aventure surnaturel. Plus fort qu'auparavant, agile, rapide. Devenu la crainte d'homme au travers la planète, surtout des fermiers, qui gardait toujours une hache près d'eux craignant que l'une de leurs brebis sois dévorer vivante. Des mythes ont forgé la haine des hommes, l'enfant vêtu d'une cape rouge a fait découvrir au homme que le loup était sournois, qu'il fallait ce méfier de lui. Pourtant, ce qu'ils redoutent le plus s'est emparer d'âmes solitaires, les transformants en ce qu'il craignait le plus: un loup. Peut de gens connaisse l'existence de cette race nouvelle, uniquement ceux qui en sont touché, dont moi, Darren Aaron Myles.

Mes souvenirs s'étaient évaporés, je n'avais plus la même mentalité. J'avais changé. Tous mon corps était engourdit, jamais quelque difficultés à respirer normalement, mais j'étais capable de souffler. J'avais passer une des plus pires de mes transformations, j'aurais aimé l'oublier rapidement. Plus jamais je veux revivre cela. Je pris du temps à ouvrir mes yeux, c'était encore trop douloureux. Lorsque, je pu voir autour de moi, je regardais les vêtements plus loin, déchirer. Était-ce les miens? Probablement. Puis mon regard descendit vers mes pattes, noir avec du gris légèrement. J'étais allongé sur un buisson fleurit. Les fleurs étaient mortes sous mon poids. Il fallait donc que je me lève. Doucement, j'essayais de me redresser sur mes pattes, c'était long mais j'avais peur de souffrir de nouveau. Une fois relevé, je pris conscience de ma transformation et de mon environnement. Les arbres, la nuit, les bêtes et,... Mon odorat se mit au travaille, quelque chose n'était pas à ça place dans cette forêt. Une présence que je n'avais pas renifler depuis longtemps. Un parfum doux et sucré. Des battements de cœur et un souffle qui était rapide. Les bruissement sur le sol étaient lourd et maladroit. Probablement un orignal mais dans ce secteur, c'était plutôt rare. Avançant légèrement sur la paille que j'avais écrasé, j'écoutais attentivement chaque son de la nature. Mais c'était le calme plat, étrangement. Puis soudain, du coin de l'œil, quelque chose vint m'attirer. C'était... L'apparence d'un homme.

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Cela faisait déjà quelques longs mois que Kate n'avait pas été face à face avec une bête samblable : sur ses quatre pattes, le loup arrivait un peu plus haut que son nombril, des oreilles dressées en sa direction, son museau se pointant sur elle, son nez reniflant son odeur. Kate resta immobile un moment, observant les arbres autour, les buissons et les bruits, mais seulement pensant une fraction de secondes. Elle ne pouvait pas clancher et se faire attaquer par un loup-garou. Elle aurait vraiment aimé connaître son vrai visage - son visage d'homme.

-Je me demande à quoi tu penses. Mais es-tu capable de réflichir quand tu es prisonnier de cette malédiction? demanda-t-elle au loup, pour qu'il réagisse à sa voix douce. Es-tu encore en mésure de savoir ton nom? De savoir à quoi tu ressembles? ajouta-t-elle, puis elle marqua une pause avait de parler. Ressens-tu encore la douleur?


Le visage neutre, ses armes prêtes, les muscles tendus et le demi sourire sur son visage attendais le loup réagir.

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Le son de sa voix, douce et mélancolique. Jamais auparavant je n'avais entendu un tel son de ma vie. Enfin... De ma vie humain. Ma tête relever dans sa direction, je regardais sa beauté rare avec précaution. Quelque chose en moi pouvais que distinguer les signes vitaux, les indices qu'un humain ne peux voir à l'œil nue et regarder chaque mouvement que cette jeune femme fessait. En t'en qu'énorme loup, les détails comme la couleur de ces yeux, la pureté de ces lèvres et ces vêtements n'importait peu. J'en avais même oublier les paroles prononcer il y a quelques temps. Sous l'aspect de la bête, mes instincts animal étaient beaucoup plus développer que ceux humain. Ma pensée n'était pas la même, mes gestes complément changer et ma façons de pensé—plus la même. Portant, alors qu'une partie de moi était encore humain, je pouvais sentir que cette personne était humaine. J'en reconnaissais l'apparence avec quelques souvenirs enfouis. Mais une autre partie de moi craignait cette présence. Non seulement parce qu'elle portait des armes (car un loup ne peut pas savoir ce qu'est un arme) mais aussi par son language corporelle. Je pouvais sentir la peur ainsi que la méfiance envers moi probablement. Elle me craignait ou sûrement qu'elle était surprise de tomber sur un loup au milieu de la nuit. Mais vue les armes qu'elle porte, elle n'est pas venu chasser le caribou.
Je pris une bouffer de courage et j'avançais quelque pas vers l'avant.

«Allait-elle me tuer? Essaie-je de penser au travers le loup.»

Ou encore m'emprisonner dans une cage exposant mon corps en de millier de morceau dans un marché quelconque. J'en avais peur pourtant la curiosité d'un animal ne laisse pas place à de la peur. C'est l'instinct de survis qui guide les pas d'une bête, surtout d'un canin. La chasse avant tout. J'espère que je n'allais pas tuer cette jeune femme dans le vouloir. Ceci met déjà arriver lors d'une transformation au Canada, un randonneur c'était égarer et je me cherchais quelque chose à me mettre sous la dent. Ce n'est pas moi qui décide malheureusement. Une force me contrôle de l'intérieur. Alors si par le plus grand des malheurs je dois tuer cette femme, jamais je m'en remettrais.

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Kate n'était pas certaine si le loup l'avais comprise ou pas. Mais franchement, cela importait peu. C'était un loup. Ou d'au moins, c'est ce qu'elle essayait de s'en persuader. Elle n'était plus aussi sûre d'elle qu'elle l'était il y a à peine quelques minutes. Étais-ce parce qu'elle l'avait vu encore humain? Entrain de se tranformer? Elle réflichi et trouva cela raisonnable comme réflexion. Mais seulement à cause de son père. Parce qu'elle l'avait vu se trasformer, elle n'avait pas réussit à faire aucun gestr, cette nuit-là. Et cette nuit-là, ils étaient aussi dans la forêt, les lueurs de la lune traversant les grands arbres pour se projeter sur eux.

Était-ce un signe?

Pourtant, c'est un loup. Non, c'est un loup-garou. Souvent ils sont mordu et n'ont pas le choix d'endurer la douleur toute leur vie. Mais.. Il tue. Il n'est plus humain.

Kate n'avait pas peur. Elle ne savait seulement pas comment prendre la situation en main. Surtout lorsqu'elle vit le loup faire quelques pas vers elle. Son arme était chargée et prête à tirer. Sa lourde épée était levée fermement vers le ciel. Mais elle recula d'un pas et s'acroupi legèrement, comme si elle évitait une branche de lui frapper le crâne.

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Pris de panique, je reculais le pas que j'avais fait auparavant. Elle avait des armes et cela me donna quelques vertiges. Allais-je mourir. C'était donc mon heure. Enfin, j'attendais cela depuis longtemps. De disparaître de cette terre qui m'avais transmis un seaux terrible à vivre. Jamais plus je n'aurais à souffrir. Jamais plus mon cœur vivra des au voltige et plus jamais de transformation. Je méritais la mort car j'avais tuer. Enlever la vie à un être humain n'est pas la même chose envers une bête. C'est privée la famille d'un père, de jeter quelqu'un dans un oublie démesurée. Tuer n'est pas une voie à suivre. Malheureusement, j'y suis forcer en quelque sorte. Pousser par la voie de la bête.

La jeune femme était prête à attaquer lorsque soudain, j'eu un malaise. Mon cœur se déchirait d'émotion, j'en avais mal. De regarder ses yeux splendide à fait remonter mon côté humain des abîmes. L'être devant m'avait donner la force de franchir la tempête qui me séparait du monde réel. J'avais plus cette envie de mourir subitement. Je voulu découvrir qui était se personnage énigmatique. Il le fallait le plus vite possible. Mais je devais fuir cette endroit enfant qu'une balle perdu traverse ma chair ou que son épée tranchante me découpe la tête en lambeau. Regardant derechef ma position, je vue qu'une seule échappatoire. Le chemin derrière elle allait me conduire dans un coin reculer de la forêt ou les montagnes commençaient à se former de glace—j'y allais quelque fois pour éviter les humains.

Prenant du recule contre l'arbre, je me sentais prêt à m'envoler au dessus d'elle pour ainsi prendre la fuite. Mais les loups ne volent pas. Et je n'ai pas la force de courir davantage pâtes la course de tout à l'heure. Les griffes de mes pattes s'enfonçaient dans le sable noir créant ainsi un petit dessin sur le sol. Les bruits autour de moi ce fessaient maintenant rare comme si l'univers tout entier avait décider de se mettre en pause pour que je puisse me concentrer dans cette échappatoire. Dans les minutes qui vont suivre, je vais disparaître de son champs de vision, espérant toute fois que ceci n'était pas notre dernière rencontre...

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Les instants qui suivirent passèrent très lentement : sa patte reculer à sa position initiale - était-ce de la peur? S'était-elle demandé dans sa tête. Puis Kate arrondis ses yeux à cette pensée. Ses lèvres s'entrouvrirent doucement. Son souffle se coupa. Elle sentis même quelques mèches glisser sur son visage à cause des plis d'incertitude qui c'étaient dessinés sur son front. Puis la jeune adulte regarfait les pattes du loup bouger legèrement, lui avouant qu'il sauterait.

Il sauterait? S'était-elle demandé en penchant sa tête de côté.

Elle savait qu'il ne pourrait se debattre contre elle après cette transformation. Il n'avait pas eu le temps de récupérer.

Puis l'instant d'après, kate leva ses yeux vers ceux du loup.

Et ce fut la première fois qu'elle hésita d'attaquer un loup.

Mais elle ne pouvait tout de même pas tourner les talons et partir. Il l'attaquerait. Et puis quoi, elle est une chasseuse de loups-garou après tout. Mais elle n'était pas capable de faire le premier pas. Quelque chose la retenait. Bordel.

Puis elle se mordit la lèvre inférieure et, avec un peu beaucoup d'hésitation, kate recula d'un pas. S'il s'avançait, ses armes étaient prêtes. Mais s'il restait, il vivrait.

C'était incontournablement son choix.

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Ça y est. J'étais près à m'échapper de cette jeune femme mais, sans que je puisse rien faire, quelque chose m'en empêchait. Possiblement ma fascination envers elle. Selon ce que je me rappel de mon humanité, la beauté de cette femme était comparable à celle d'un ange et je ne pouvais détacher mon regard malsain de son corps. La bête en moi aurais eu un petit creux sur le moment, voulant dévorer la moindre chose qui bougeait dans les alentours mais l'homme voulu être curieux sur le moment.

La mine que j'avais ne me permettais pas d'approcher tel un canin domestique, j'étais l'un des plus grand prédateur de ses forêts et les hommes ne voient pas en un loup la capacité de mettre de côté leurs instincts de chasseur. Ce que j'aimais dans cette théorie était que je n'étais pas un loup comme les autres, donc je pouvais me permettre d'avancer subtilement vers elle. Pourtant, la jeune femme me montrait des armes craint par le commun des mortels. Il fallait que je sois prudent sans trop l'être cependant car elle pourrais croire que je suis en chasse contre sa personne. Les pas étaient lourd et bien pensés. Mes moindres gestes furent contrôlés par les pensés de l'homme. Il fallait pratiquement toute mes forces pour retenir ma langue de licher mes babines ou même de montrer les dents envers elle. Une fois qu'une distance de cinq mettre nous séparait, les battements de mon cœur fut la seule chose que je pouvais entendre pour le moment. J'étais nerveux à l'idée de savoir son pistolet braqué sur ma tête ou encore son poignard trancher ma douce fourrure noir. Il fallait que je reprenne dessus moi pour me contrôler sur ma façon d'agir auprès de cette ange. Allais-je la renifler pour commencer? Ou bien lui tendre la pâte? — même si un loup en général ne le fait pas. Je ne savais plus où mettre mes pensés. Alors j'allais laisser faire les choses, j'avais fait le plus gros du trajet. C'était à son tour de me démontrer un quelconque intérêt.

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Katherine restais figée. Sa respiration étais regulière et elle sentais la sueur lui couler le long du dos. Enfaite, la chasseuse étais un peu désorientée. Elle voyais et sentais que le loup-garou voulait la comprendre, mais elle ne pouvais pas prendre de risques et baisser les armes. Ce n'est pas un simple loup. C'est un mutant.

Ses yeux bruns ne débranchaient pas de ceux du loup. Si elle le faisais, il y aurais de grandes chances qu'il saute sur elle. Et cela ne se passerait pas. Voyant qu'il s'avancais vers elle calmement, Kate étais plus aux aguets à chacun de ses mouvements, mais c'étais risqué de rester là. L'attaquer, elle ne pouvais pas. Donc, un peu à contre coeur, Kate fit un leger pas sur le coté, parce que vers l'arrière, elle ne pouvais pas, surtout pas pour lui montrer qu'elle hésitais.

Puis elle fit un autre. Et un autre.

Mais ses armes restèrent bien en position.

Et le chemin était libre, vers la liberté.

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Une pression fut senti sur ma poitrine, c'était brutal et incompris. Quelque chose en moi changeait mais j'en ignorais la cause. Plus la jeune femme s'éloignait de moi plus je ressentais cette douleur. J'espérais de tout cœur que je n'étais pas en chasse à ce moment mais rien n'était sûre en étant loup.

Je voulu communiquer avec elle, mais un hurlement allait probablement lui faire peur, donc je resta immobile jusqu'au moment où j'eus une bref idée. Un souvenir me passa par la tête—un film déjà vu ou un image qui avait passer rapidement—comme un chien qui pour se faire reconnaître ou aimer par son mettre, il se coucha au sol pour se glisser jusqu'à ces pieds. Mais j'ignorais si j'en était capable. Je ne connaissais encore peu dans mes capacité de loup et je venais à peine de me transformer, j'en ressentais encore la douleur. Je ne voulais encore moins mourir devant elle, une balle dans le crâne. Donc je me mis au travail.

Mes pattes se faufilais dans la terre laissant mes griffes faire quelques marques dans la terre. Mes coudes étaient vers les bas près à encaisser un choc lorsque j'allais me trainer. Une fois mon torse contre la boue, je regardais celle qui tenait les armes avec un regard piteux. Je savais que ceci, elle allait le comprendre. Puis ensuite, je m'avançais doucement vers sa personne, espérant ne pas être attaquer dans les quelques secondes qui allaient suivre. Mon esprit était préoccuper par sa présence même que j'avais complètement oublier que j'étais un loup—enfin jusqu'à maintenant. Mais ce qui me fessait le plus peur c'était de voir sa réaction une fois à ses pieds.

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Kate essayait de comprendre. Elle essayait de comprendre ce qu'il voulait qu'elle comprenne. On dirait que le loup agissait comme un chien, lorsqu'il veut s'aprocher d'un humain mais qu'il est vulnérable. Elle était étonée que le loup-garou réussisse à garder une pensée stable pour s'en rendre compte non seulement qu'il peut résister à ses tentations de loup, mais aussi du fait que Katherine ne veuille pas l'attaquer. La jeune chaceuse sais qu'il ne pourrais pas rester ainsi, à se contrôler toute la nuit pour faire copain-copain avec elle. L'instinct animal prendra le dessus bientôt.

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Le voyant se coucher pratiquement sur le sol et se traîner vers elle, Kate baissa legèrement son fusil, mais elle ne pouvais le laisser s'approcher davantage.
-Il ne faut pas. Vas-t-en. Tu ne sera pas capable de te retenir trop longtemps, dit-elle au loup à la fourrure noire.
Il faisait bien sombre dans la fôret et on ne voyait que les rayons projectés de la lune par endroits. Il est pourtant claire que Kate ne devrait plus être aussi profondément à l'intérieur de cette jungle, mais elle avait ses sens très éguisés pour une humaine. Elle devrait se dépecher de le faire partir.
Ne faisant aucun mouvement brusque et restant calme, elle se déplaça encore d'un pas sur le côté, libérant à cent pour cent la sortie au loup avant de parler:
-Part! Dit-elle presque dans un murmure.

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Derechef, elle avait prononcé des paroles avec son magnifique ton de voix. C'était délicat à entendre et me donna quelques peu des frissons. Je n'avais pourtant pas tout saisis, mais selon ses gestuels, il fallait que je m'éloigne d'elle. Je me mis à reculer et regarder autour de moi, c'était un très beau paysage mais quelque chose clochait. Au-delà d'une petite colline se camouflait un grand buisson costaud et il était en mouvement. Aucune brise n'était détectable et aucun son ne parvenait à mon oreille.

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Une certaine peur pris part en moi, je ne voulais pas me faire attaquer surtout avec une humaine près de là. Donc, je m'avançais près de cette arbre en étant près à attaquer contre mon gré..